« La cage de l’ombre forte », conviée à la rencontre du poète Gôzô Yoshimasu et de la chanteuse Marilya Corbot, organisée par Claude et Hélène Mouchard, retient quelques images…

Claude a lu « déplorant la mort d’un ami cher, un matin de printemps à Paris,
dans une lumière comme la brume, 11 heures du matin, le 11 mars 97 ».

« baleine fatiguée, fatiguée, baleine » « baleine fatiguée,… baleine fatiguée »

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Gôzô Yoshimasu, Osiris, dieu de pierre, Éditions Circé (1999)
Voir aussi : La revue Po&sie n° 100, p. 105
Sur YouTube : Gôzô Yoshimasu
Sur le site de la revue Po&sie :GôzôCine

« Qu’est-ce qui meut le Cinégôzô (et nous dans son sillage) ? Quelle étrave de désir, quel pôle filant à l’horizontale ?
Rien d’identifiable… Juste de quoi, doucement-cruellement, ouvrir des lieux ou les manières d’y être des gens qu’on n’aperçoit que de côté, à mi-taille – des proximités toutes déjà trouées (horizontalement : rues, chemins, fleuves, ou verticalement : une cave, un puits) où les vivants s’installent. ».
Claude Mouchard